Dès que l’idée de ce voyage m’est venue, j’ai tout de suite pensé aux Galapagos, cet archipel d’îles au milieu du Pacifique m’avait toujours attiré mais étant donné le budget conséquent pour s’y rendre j’ai préféré ne pas l’inclure dans mon billet tour du monde ne sachant pas où j’en serai dans mon budget.
Mon budget maximum étant loin d’être atteint, je me suis décidée en juin et j’ai modifié mon billet retour en y incluant les Galapagos ce qui clôturait en beauté ce tour du monde. Mais je n’ai rien réservé d’autre et me suis dit que je verrai sur place.

A peine arrivée sur l’ile de Baltra où se trouve l’aéroport le plus fréquenté, vous savez déjà que vous êtes dans un lieu unique (bon alors, déjà on vous demande 100$ pour entrer)  mais dès que l’avion s’est posé j’ai pu apercevoir des iguanes sur la piste d’atterrissage et sur le chemin qui nous menait vers le port j’ai vu plusieurs tortues géantes sur la route.
Ce qui m’a plu ici, c’est que c’est un lieu unique où l’on vit avec les animaux partout, et ils n’ont pas peur de nous.

L’endroit est ultra protégé ce qui permet d’être isolée sur des îles et de ne pas avoir trop de touristes. Ici les règles de navigation sont très strictes, il y a un nombre de bateaux limité sur l’archipel et chaque bateau n’est autorisé que sur certaines îles dans un créneau horaire assez précis. Les endroits accessibles aux touristes sont très limités, à seulement quelques zones,  que ce soit pour le snorkling ou sur terre, ce qui nous a permis plusieurs fois d’arriver sur une île déserte et être les seuls sur l’île .

j’ai rencontré une Allemande dans l’avion qui partait en croisière dès  le lendemain. Quand elle m’a montré le programme et le bateau, j’étais intéressée  et lorsque l’agence m’annonce le prix je n’ai pas hésité une seule seconde et l’affaire était conclue.

Et me voilà donc partie à bord d’un très beau voilier francais (bon je n’ai pas reussi à savoir de quel bateau il s’agissait mais peut être un Sun Odissey 45) pour une croisière  de 8 jours.

Durant ces 8 jours nous passerons par des îles avec une grande diversité de paysages et d’animaux.
Nous  commençons par Norte Seymour, Leon Dormido, Espagnola et Punta Suarez, en passant par San Cristobal pour finir sur l’ile de Santiago et Bartholomé.

A Puerto Ayora, tous les matins, les pêcheurs rapportent le poisson: tout le monde attend sa part avec impatience.

Même l’église est unique en son genre avec sa tortue sur l’autel et ses vitraux originaux.

Les paysages traversés.

Les oiseaux.

Les fous à pieds bleus.

Plus le bleu est foncé plus ils sont vieux.

Et leurs bébés…

Les flamands roses (quoi qu’ici ils sont plutôt orange).

Les fous masqués.

Courlis corlieu.

Vuelve piedras : tournepierre à collier.

Canario maria : paruline.

 

Les Pinsons.

Les hérons
Garza morena : le grand héron bleu.

Garza blanca : le héron blanc

Les albatros.

Les échasses.

La mouette des Galápagos.

Les frégates

J’allais oublier les pélicans

les tortues.

Maintenant on sait d’où vient ET.

Les iguanes
on rencontre deux espèces d’iguanes:
les terrestres,

les marins.

Les lions de mer : alors c’est simple, les lions de mer, y en a sur toutes les iles et partout, ils sont vraiment pas effrayés et s’installent où ils veulent meme sur les bancs ou dans le port, voire sur les bateaux… c’est assez hallucinant! Car quand on va sur certaines plages, on partage littéralement l’espace avec eux.

et on ne se lasse pas des les regarder.

Mais il y a aussi tous les animaux sous l’eau comme les tortues de mer, les hypocampes, les raies, les dauphins, les baleines, et bien sûr  les fameux requins.
je dois avouer que c’est le truc le flippant que j’ai fait dans ce tour du monde car au milieu de ces 2 rochers c’est très profond, on ne distingue pas le fond et d’un coup tu vois apparaître les requins qui remontent à la surface. On a beau te dire qu’ils sont inoffensifs, ça reste un requin et quand j’en ai vu un se diriger sur moi, eh bien, j’ai quand même flippé.